Hier, j'étais à Arcueil-gare à 9h45* (un peu tard, je suis malade depuis cinq jours, c'était déjà sensible dans la rédaction
de l'article précédent), puis sur le parvis de Notre-Dame à 10h08**, où il y avait beaucoup de monde pour cette heure matinale.
J'ai participé aux deux messes, de 10h et de 11h30. Pour la messe grégorienne, la Maîtrise était
composée de deux sopranes, une alto et un contre-ténor. Il m'a semblé que l'on entendait mieux l'alto et le
contre-ténor que d'habitude, et j'ai pensé que peut-être on avait tiré partie de ma remarque de l'article précédent.
Pour la messe internationale, célébrée par un prêtre de Brooklyn qui nous a salués en allemand, en
italien, en hébreu, en arabe, probablement en espagnol, et en d'autres langages que je n'ai pas identifiés,
quatre solistes ont chanté une messe brève de Mozart, puis le Pange Lingua de Bruckner.
L'article correspondant a été publié sur le blog Cum sancto spiritu, sur lequel je publierai aussi le concert
de mercredi 20 juillet. Je suis ressortie de NotreDame vers 12h45, il y avait beaucoup de monde.
Et le parvis était rempli de files de touristes qui attendaient de pouvoir entrer... Le célébrant de la
messe internationale a dit qu'ils arrivaient en touristes et devenaient pélerins dès qu'ils étaient entrés.
J'ai repris le RER à 12h51*** La narration est succinte, je ne peux pas faire mieux, j'en suis désolée.
Sylvie, blogmestre